En auto-stop, il gagne Collioure, il fait la connaissance de Nathalie Conrad, journaliste américaine qui le fait interviewer par le reporter qu'elle accompagne. Celui-ci éprouve une vive sympathie pour le caractère de Georgenko, et Nathalie, pour sa part, se donne à celui-ci. Le lendemain les deux journalistes déposent Georgenko à Barcelone d'où il est envoyé immédiatement sur le front. La bataille donne libre cours à la cruauté. Nancini, un métallo français, engagé par idéal, pris par les franquistes, est renvoyé les yeux crevés, et, après le combat, les Brigades fusillent de sang froid quatre Allemands faits prisonniers.